Cet article donne un bref aperçu de la littérature sur la stratégie de Lisbonne. Il a pour objectif de mettre en évidence le changement d'attitude des experts et du monde académique à l'égard de la stratégie (à la fois à son lancement en 2000 et durant son évolution, en passant par sa révision à mi-parcours en 2004-2005). L'article met l'accent sur trois questions principales : les fondements politiques et économiques de la stratégie, l'utilisation de la participation pour accroître la légitimité démocratique de l'UE et le potentiel cognitif de la stratégie au moyen de dynamiques d'apprentissage. Trois tensions importantes semblent mériter une plus grande attention politique et analytique. La première tension a trait à la réforme du modèle social européen ; la seconde se rapporte au compromis ambigu entre la supposée dépolitisation des réformes socio-économiques grâce à la stratégie de Lisbonne et l'objectif d'améliorer la participation des parties prenantes. Quant à la troisième tension, elle concerne le respect des compétences nationales, d'une part, et l'amélioration de l'efficacité de la stratégie, afin de créer des répertoires cognitifs et normatifs, d'autre part. Pour toutes ces tensions, le projet de Lisbonne a apporté une première réponse mais celle-ci n'est pas définitive Cet article donne un bref aperçu de la littérature sur la stratégie de Lisbonne. Il a pour objectif de mettre en évidence le changement d'attitude des experts et du monde académique à l'égard de la stratégie (à la fois à son lancement en 2000 et durant son évolution, en passant par sa révision à mi-parcours en 2004-2005). L'article met l'accent sur trois questions principales : les fondements politiques et économiques de la stratégie, l'utilisation de la participation pour accroître la légitimité démocratique de l'UE et le potentiel cognitif de la stratégie au moyen de dynamiques d'apprentissage. Trois tensions importantes semblent mériter une plus grande attention politique et analytique. La première tension a trait à la réforme du modèle social européen ; la seconde se rapporte au compromis ambigu entre la supposée dépolitisation des réformes socio-économiques grâce à la stratégie de Lisbonne et l'objectif d'améliorer la participation des parties prenantes. Quant à la troisième tension, elle concerne le respect des compétences nationales, d'une part, et l'amélioration de l'efficacité de la stratégie, afin de créer des répertoires cognitifs et normatifs, d'autre part. Pour toutes ces tensions, le projet de Lisbonne a apporté une première réponse mais celle-ci n'est pas définitive Cet article donne un bref aperçu de la littérature sur la stratégie de Lisbonne. Il a pour objectif de mettre en évidence le changement d'attitude des experts et du monde académique à l'égard de la stratégie (à la fois à son lancement en 2000 et durant son évolution, en passant par sa révision à mi-parcours en 2004-2005). L'article met l'accent sur trois questions principales : les fondements politiques et économiques de la stratégie, l'utilisation de la participation pour accroître la légitimité démocratique de l'UE et le potentiel cognitif de la stratégie au moyen de dynamiques d'apprentissage. Trois tensions importantes semblent mériter une plus grande attention politique et analytique. La première tension a trait à la réforme du modèle social européen ; la seconde se rapporte au compromis ambigu entre la supposée dépolitisation des réformes socio-économiques grâce à la stratégie de Lisbonne et l'objectif d'améliorer la participation des parties prenantes. Quant à la troisième tension, elle concerne le respect des compétences nationales, d'une part, et l'amélioration de l'efficacité de la stratégie, afin de créer des répertoires cognitifs et normatifs, d'autre part. Pour toutes ces tensions, le projet de Lisbonne a apporté une première réponse mais celle-ci n'est pas définitive Cet article donne un bref aperçu de la littérature sur la stratégie de Lisbonne. Il a pour objectif de mettre en évidence le changement d'attitude des experts et du monde académique à l'égard de la stratégie (à la fois à son lancement en 2000 et durant son évolution, en passant par sa révision à mi-parcours en 2004-2005). L'article met l'accent sur trois questions principales : les fondements politiques et économiques de la stratégie, l'utilisation de la participation pour accroître la légitimité démocratique de l'UE et le potentiel cognitif de la stratégie au moyen de dynamiques d'apprentissage. 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Il a pour objectif de mettre en évidence le changement d'attitude des experts et du monde académique à l'égard de la stratégie (à la fois à son lancement en 2000 et durant son évolution, en passant par sa révision à mi-parcours en 2004-2005). L'article met l'accent sur trois questions principales : les fondements politiques et économiques de la stratégie, l'utilisation de la participation pour accroître la légitimité démocratique de l'UE et le potentiel cognitif de la stratégie au moyen de dynamiques d'apprentissage. Trois tensions importantes semblent mériter une plus grande attention politique et analytique. La première tension a trait à la réforme du modèle social européen ; la seconde se rapporte au compromis ambigu entre la supposée dépolitisation des réformes socio-économiques grâce à la stratégie de Lisbonne et l'objectif d'améliorer la participation des parties prenantes. 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